Le lendemain Sofien Rajab (membre du bureau exécutif du SNJT) me confirme l'information qui lui est parvenue d'une autre source..
Ce qui m'a intéressé le plus dans ce texte intitulé: Le SNJT se meurt, c'est son auteur le fameux: "Patriote 2005". "Patriote 2005" qui est resté longtemps caché.. Enfin on connait qui est ce "chevalier" !!
Le SNJT se meurt
Le Syndicat National des Journalistes Tunisiens (SNJT), ce nouveau-né encore fragile, de filiation douteuse, pour certains, non désiré pour d’autres, placé depuis près trois mois sous couveuse, risque de passer très vite de vie à trépas.
C’est Zied El Héni, le vice-(sic) président du Fond (sic) d’entraide des journalistes, qui semble avoir décidé de lui nouer les cordons de la bourse autour du cou.
Zied El Héni, qui est pourtant membre du bureau exécutif du syndicat, mais dont il boycotte les activités, est en train de clamer haut et fort, à qui veut l’entendre, que le Fonds d’entraide est « une association juridiquement indépendante du syndicat »
Cela revient à dire, tout simplement, que le SNJT n’aura hérité de l’AJT que le passif, qu’il sera une structure sans ressources, à part les cotisations de ses adhérents, et que les journalistes tunisiens n’auront donc d’autre choix que de le déserter s’ils veulent bénéficier des avantages et des privilèges prévus par le Fonds d’entraide !!!
Indépendamment des aspects juridiques de cette affaire, et quelle que soit la tournure que vont prendre les choses, la question fondamentale qui se pose est la suivante : Zied El Héni aurait-il proféré des assertions aussi hautaines et aussi téméraires s’il avait été bien élu, s’il avait été majoritaire ou s’il avait occupé le poste qu’il convoitait au sein du bureau exécutif ? La réponse est évidente !!
Le manège ridicule qu’il a organisé, lundi 31 mars 2008, au siège du Syndicat, le « court métrage » qu’il a produit sur l’affaire du huissier-notaire mandaté par le Président du Syndicat auprès de la présidente du Fonds et le blog qu’il a créé spécialement pour diffuser son chef-d’œuvre, montrent clairement la mauvaise foi, le machiavélisme, l’égocentrisme et la mégalomanie de cet « officier de réserve ».
Qu’il soit le maître absolu de ses actes ou qu’il soit manipulé, qu’il ait agi seul ou dans le cadre d’une coterie, peu importe. Le résultat est le même : un coup dur vient d’être asséné au SNJT et ça sera à lui, et à lui seul, d’en assumer la responsabilité. Même si tout le monde sait qu’il y a derrière cette manœuvre une bande de mauvais perdants.
Il est enfin affligeant que des journalistes aussi respectables que Khemais Khayati se laissent entraîner dans des combines aussi misérables !!!
Patriote 2005
Tunisnews_ French 02/04/2008
8 ème année, N° 2870
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